Portrait du daguerréotypiste Marie-Charles-Isidore Choiselat dans son laboratoire. L'homme est assis, il tient un livre dans les mains. Il est entouré de son matériel de chimiste. On distingue trois filtres, trois récipients pour chauffer (en céramique et en métal), un mortier, un flacon avec l'inscription "alcool" sur l'étiquette d'une bouteille, et peut-être un distillateur à droite.
Portrait du daguerréotypiste Marie-Charles-Isidore Choiselat (Paris 1815-Paris 1858) dans son laboratoire
Image description
Portrait du daguerréotypiste Marie-Charles-Isidore Choiselat dans son laboratoire. L'homme est assis, il tient un livre dans les mains. Il est entouré de son matériel de chimiste. On distingue trois filtres, trois récipients pour chauffer (en céramique et en métal), un mortier, un flacon avec l'inscription "alcool" sur l'étiquette d'une bouteille, et peut-être un distillateur à droite.
Subject name
Inscription
Poinçon :
Etoile à six branches en haut à droite de la plaque.
"30" correspondant au titre d'argent en haut à gauche de la plaque
Keyword technique
daguerreotype
links
Stereo plates
No
Window size
Height
194 mm / 7.64 inch
Width
144 mm / 5.67 inch
Housing size
Height
411 mm / 16.18 inch
Width
317 mm / 12.48 inch
Depth
10 mm / 0.39 inch
Window shape
Rectangle
Dated
Begin
1843
End
1845
Collection
Identifier
Musée Carnavalet, France
Description
Musée Carnavalet - Histoire de Paris
Creator
Name
Choiselat, Marie Charles Isidore
notes
Marie-Charles-Isidor Choiselat (1815-1858) und Stanislas Ratel (1824-1904) waren ein gutes Team und arbeiten von 1840 bis 1848 zusammen. Charles Choiselat, der sich vermutlich seit 1839 für die Daguerreotypie interessierte, war ein ausgezeichneter Chemiker. Er begann mit Stanislas Ratel zu daguerreotypieren, als dieser erst sechzehn Jahre alt war. Ratel wählte den Beruf des Ingenieurs, den er sechsundvierzig Jahre bei der Eisenbahn ausübte. Choiselat und Ratel waren frühe Praktiker und auch Verbesserer der Daguerreotypie. Sie veröffentlichten 1840 ihre Methode zur Erhöhung der Sensibilität der Platten und erreichten um 1843 eine Belichtungszeit unter zwei Sekunden (Perret, R., Kunst und Magie, 2006, pp. 191)
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